Solo per inversione del titolo del post precedente, mi viene in mente che Freud (1856-1939) cita Balzac (1799-1850) che, nel suo Le Père Goriot, parla del Mandarino cinese di Rousseau (1712-1778).
In realtà sembra trattarsi di una falsa citazione (quella che fa Balzac), comunque, ci si chiede cosa si farebbe se, senza correre alcun rischio di essere scoperti, si potesse uccidere, con un semplice atto di volontà, comodamente da casa propria e con grande vantaggio economico, un vecchio e sconosciuto Mandarino cinese. L'autore sottintende che non scommetterebbe sulla vita del dignitario.
‘Tuer son mandarin’ diventa una frase che descrive molto bene l'atteggiamento cinico che oltrepassa molto l'utilitaristico 'Mors tua, vita mea'.
O conscience ! ne serais-tu qu’un fantôme de l’imagination, ou la peur des châtiments des hommes ? Je m’interroge ; je me fais cette question : Si tu pouvais par un seul désir tuer un homme à la Chine et hériter de sa fortune en Europe, avec la conviction surnaturelle qu’on n’en saurait jamais rien, consentirais-tu à former ce désir ? J’ai beau m’exagérer mon indigence ; j’ai beau vouloir atténuer cet homicide en supposant que par mon souhait le Chinois meurt tout à coup sans douleur, qu’il n’a point d’héritier, que même à sa mort ses biens seront perdus pour l’État ; j’ai beau me figurer cet étranger comme accablé de maladies et de chagrins ; j’ai beau me dire que la mort est un bien pour lui, qu’il l’appelle lui-même, qu’il n’a plus qu’un instant à vivre : malgré mes vains subterfuges, j’entends au fond de mon cœur une voix qui crie si fortement contre la seule pensée d’une telle supposition, que je ne puis douter un instant de la réalité de la conscience.
RispondiEliminahttps://fr.wikisource.org/wiki/G%C3%A9nie_du_christianisme/Partie_1/Livre_6/Chapitre_II
Grazie per la riflessione, un saluto!
Stefano
Ciao, e grazie del riferimento e della citazione.
EliminaEsplicito il riferimento del tuo link:
François-René de Chateaubriand, Génie du christianisme